Blog de Frenchwrestler31

On s’est retrouvés tous les deux en tenues de gladiateurs face à face. Avec seulement des ceintures de cuir autour des pectoraux et de la taille et un étroit tissu sur les parties, noir pour moi et blanc pour lui. Il portait aussi des manchons de cuir grenat, lacés. Nos deux corps se sont jetés l’un contre l’autre, arcboutés pour tenter de faire chuter l’autre. Il m’a surpris et je me suis retrouvé à terre sous lui. Mais j’ai enserré sa jambe droite entre mes jambes, l’empêchant de sortir de ma prise, et j’ai tenté de lui porter un étranglement. Tête contre tête, épaules contre épaules, roulant l’un sur l’autre. Puis il s’est dégagé et est monté sur moi. Mais je le tenais aussi et l’empêchait de bouger comme il le voulait avec sa jambe bloquée par mes deux jambes. Je lui pinçais ses tétons et ses pecs, l’attrapait par ses ceintures de cuir sur le torse mais il réussissait à dégager mon étreinte plusieurs fois en me prenant les pouces. Au bout d’un moment, il a réussi à m’immobiliser totalement sous lui. J’ai dû me soumettre. On s’est alors débarrassés de nos tenues de gladiateurs pour continuer totalement nus. Le combat a repris aussitôt et là c’est moi qui ai pris le dessus, le faisant tomber à terre et lui grimpant dessus, je lui tenais le poignet avec mon bras gauche, tandis que son autre bras était coincé sous moi, et j’appuyais sur sa gorge avec un mon bras droit tandis que tout le poids de mon corps le maîtrisait sous moi. Il tentait de se dégager mais je l’étranglais un peu plus en le bloquant totalement sous moi avec mes jambes et mes bras, sa tête renversée, coincée sous moi. Il ne pouvait plus bouger du tout et j’exerçais totalement mon contrôle sur lui. Il dût abandonner. Je le mettrai à nouveau à terre, sous moi, dès le début du troisième round. Je le soumettai à nouveau. Je réussis même un moment à passer dans son dos et à lui placer un étranglement avec mon bras droit tout en bloquant sa taille entre mes jambes dans un scissor parfait. Nos corps en sueur glissaient, nos bouches se cherchaient, sous ma domination je prenais son sexe dur dans ma main pour le branler. Après ce ne fut que baisers, branle et suce mutuelles, léchage d’aisselles, de couilles et de trous du cul, enchevêtrement de corps en sueur mêlés de coups de poing dans les côtes et le dos, et même gifles et pincements de tétons, doigtés profonds, accompagnés de râles et de soupirs de jouissance. Je l’amenai à jouir sur ma poitrine, son sperme coulant sur mes poils, pendant qu’il me doigtait bien profondément et m’injuriait ou me regardait en me disant que je suis trop beau. J’ai adoré le soumettre, le martyriser, relâchant mes prises, mes étranglements pour les durcir et le punir dès qu’il tentait de s’échapper. Le forçant aussi à me sucer la bite bien profond au fond de sa gorge. Mais j’ai aimé aussi le sucer bien profond jusqu’à sentir son gland toucher ma glotte et remplir le fond de ma gorge. Et lui offrir soudain mon cul à doigter et mon visage et ma poitrine à gifler et frapper. Un mélange de virilité et de masculinité, que mon partenaire adore, avec la féminité d’être doigté et tout à coup sous le pouvoir d’un autre homme. Le plaisir masculin, l’amour entre hommes présente l’avantage d’offrir bien des opportunités. On échange les rôles, on peut s’embrasser, se sucer, branler, caresser, frapper, pincer, lécher, doigter, enculer… toutes le parties du corps peuvent être utilisées, tous les trous peuvent être explorés. On peut passer de la lutte, de la bagarre la plus acharnée, à la tendresse et à la douceur, d’un instant à l’autre, de la virilité à la féminité. Il me semble que cela offre plus de possibilités que l’amour hétérosexuel.

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Last edited on 4/09/2024 11:51 PM by Frenchwrestler31; 2 comment(s)
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Primal

Primal. C’est toi qui a choisi l’adjectif, Arturo. Et bien choisi. La lutte entre hommes, c’est primal, sauvage, un côté brut, dans tous les sens du terme, animal, vital. La testostérone afflue, on se jauge, on s’attrape, on se prend, on se mesure, on tente de faire vaciller l’autre, le faire tomber, lui monter dessus, le contrôler, le dominer. Résister à l’autre, lui échapper, se dérober puis revenir à la charge. Se palper, se toucher, bander tous ses muscles sans l’effort pour l’immobiliser à terre, le faire souffrir, souffrir aussi dans l’étreinte, le combat. La lutte de deux corps nus, sans entrave, sans autre arme que sa force, sa rapidité, sa malice, son expérience, son poids, sa souplesse. Deux corps nus, pleins de sueur s’affrontent sur un matelas, par terre dans une petite chambre d’hôtel surchauffée. On y perd son souffle. Tout à coup ca y est, l’adversaire a pris le dessus, vous êtes coincé sous son poids, ses 96 kg de muscles et de chair qui vous étreignent. Coincé entre le matelas et le mur de la petite chambre. Vous suffoquez, vous allez vous rendre. Puis vous reprenez votre calme, chassez la panique, retrouvez un peu de forcer pour glisser hors de la prise, de l’étreinte, de la force brutale de votre opposant. Celui-ci a peut-être aussi un peu relâcher sa prise, son étreinte, son avantage car la lutte est aussi un partage. L’ennemi est un partenaire aussi. Poitrine contre poitrine, tête contre tête, vous glissez votre menton dans le creux de son épaule pour lui faire mal, vous agrippez sa jambe dans l’étau de vos deux cuisses et vous serrez, vous passez un bras autour de son cou et vous le serrez, l’étranglez. Il suffoque à son tour. La sueur empêche de bien maintenir votre prise, il se dégage peu à peu, écartant un doigt après l’autre votre main et votre bras de son emprise. Grognements, coups dans le ventre, gifles, tirage de cheveux, petites morsures mêmes, coudes dans le muscle du biceps pour faire relâcher l’étreinte. Les corps sont comme emboîtés l’un dans l’autre, transpirants, moites, brûlants, la douleur se mêle au plaisir, épuisés, fourbus, excités, en éveil. On se roule dessus, on tente d’emprisonner une jambe, un bras, de le tordre, de faire mal, et du bien en même temps. Au comble de la lutte, les deux corps humides, enlacés, se tordent l’un contre l’autre, s’empoignent avec rudesse puis souplesse. Les bouches s’ouvrent et s’embrassent, les langues se cherchent et se pénètrent comme des sexes dans la bouche, les sexes durcissent et se frottent l’un contre l’autre, tentent de forcer un passage entre les cuisses tendues, entre les fesses dures. Bearhug mutuel et féroce, les bouches et les sexes se battent aussi, on échange la salive et le sperme jaillit comme une récompense de la lutte et de l’ardeur. Primal, brutal, sensuel, viril, sexuel, animal, féroce, joyeux, le combat fraternel des corps nus est un moment de partage idéal. Sans vainqueur, sans perdant, sans héros, sans bourreau. Les deux lutteurs y trouvent leur plaisir, leurs délices, leur douleur, leur souffrance, leur peur et leur joie. C’est si bon.

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Last edited on 3/21/2024 6:01 PM by Frenchwrestler31; 3 comment(s)
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La lutte est sans doute le moyen à la fois le plus archaïque et le plus simple d’entrer en contact étroit avec le corps d’un autre homme. Je veux dire la lutte comme un jeu, comme une évaluation de la force, du talent de l’autre, pas comme un combat pour survivre, une bataille de violence brutale. Les Anciens l’avaient bien compris qui en faisaient une discipline majeure du gymnase avant que cela ne soit perverti par les jeux des arènes où s’affrontent les gladiateurs. Les hommes de la préhistoire devaient aussi régler leurs différents à mains nues, sans forcément porter atteinte à l’intégrité de leur adversaire, le blesser voire le tuer. Il s’agissait de s’affronter pour voir qui était le plus fort, ou le plus malin ou agile. La sensualité voire l’erotisme peuvent aussi entrer en jeu, consciemment ou pas. La lutte permet à des hétéros comme à des gays de s’évaluer voire s’apprécier. Ou pas. C’est un peu comme deux jeunes chiens mâles s’affrontent en jouant, s’excitent, se mordillent, se tournent autour, se sentent le cul pour voir qui est le dominant. Mais le dominé y trouve aussi parfois son compte finalement, sa place. C’est un simple jeu permettant d’attribuer momentanément les rôles et de bien s’amuser pour cela. Il ne doit pas y avoir de haine ni de vengeance ni de violence la dedans. Juste une joute saine, même si elle peut avoir quelques aspects vicieux et pervers, consentis. Les corps se cherchent, se palpent, se jaugent, s’évaluent et se trouvent. Parfois.

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Last edited on 12/31/2023 12:48 PM by Frenchwrestler31; 8 comment(s)
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LECTEURS ATTENTION CES RÉCITS CONTIENNENT UNE GRANDE PART DE FANTASME ET D"IMAGINATION POUR VOTRE PLUS GRAND PLAISIR J'ESPÈRE ...
On a décidé de se revoir avec mon gladiateur préféré, mais habillé tout en blanc : T-shirt, jean, chaussettes et chaussures blanches ... un côté fiançailles de fight et de sexe. On s'agrippe sans tarder, nos corps s'arqueboutent, c'est le jour du blanc... je réussis à faire tomber mon adversaire et lui place un étranglement autour du cou avec mon bras gauche que je tiens serré avec l'autre bras. Je suis légèrement au- dessus de mon opposant, les jambes sur le côté, et j'ai coincé sa tête et son corps contre le meuble qui borde les deux matelas placés au sol en guise de tapis de lutte. Mon adversaire tente tout pour s'en sortir mais ma prise est vraiment bonne, je le contrôle sans lui faire mal, juste l'empêcher de respirer normalement. Nos cotons blancs sentent le propre. Nos deux bites durcissent à travers le tissu de nos pantalons, et se frottent à travers nos slips... blanc et nos jeans immaculés car je finis sur lui mes jambes autour des siennes. Il tape. Je le lâche, il me surprend en reprenant avant même de se mettre en position face à face et le voila qui me monte dessus tandis que je me retrouve sur le dos à tenter de déserter son étreinte et à sortir de ma position d'infériorité. La lutte dure un bon moment, nos bras s'agrippent, je pince ses tétons sous le T- shirt, il tente de me bloquer mes deux bras, je résiste même si je suis sous son corps. Il essaye de me porter un scissor autour des côtes comme il me m'avait fait une autre fois et c'est très douloureux. Mais je l'en empêche. Au bout d'un moment, peut-être après avoir brièvement tapé, je réussis à me sortir de ma position délicate. On se lève et on enlève nos vêtements prestement mais sans les déchirer ou les arracher. On est tous les deux nus avec juste nos slips blancs et le combat recommence. Au sol, roulant l'un sur l'autre nos bites bataillent aussi à travers le tissu blanc, la lutte serrée vire au corps à corps uniquement charnel. J'ai à nouveau le dessus grâce à mon gabarit supérieur, je jouis de contrôler mon adversaire par un nouvel étranglement parfaitement maîtrisé, nos mains cherchent et trouvent le trou du cul et la bite de notre adversaire en écartant les deux petits slips blancs. Nos lèvres s'ouvrent et nos langues se mélangent. J'ai le dessus et ça me plait. Je crois que lui apprécie aussi. Je le branle tout en lui ramonant le trou du cul avec trois doigts bien mouillés. A son tour, il en fait de même. Le combat est carrément devenu uniquement sexuel. Je jouis cette fois en premier et lui en suivant. Je roule et le prend sur moi pour recevoir son sperme sur mon ventre et mon torse. Nos spermes se mélangent entre nos deux corps collés, épuisés et ravis.

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Last edited on 7/02/2023 6:21 PM by Frenchwrestler31; 5 comment(s)
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